Se perdre aux confins d'un dédale.
Creuser jusqu'a la fin.
Et tenter d'ajourer la trame.
Aux mélanges d'un cri et d'un râle ou d'un parfum.
Sans cesse continuer serein, jusqu'a l'ajout d'un point final.
Et déméler même en vain, les liens qui nous tissent, puis se ressèrent comme une toile.
Et quand parfois j'tremble de toute ma peau...
c'est les traces des caresses de l'hier.
ça m'attrappe depuis l'fond de mes os,
c'est ce qui est futile ou nécéssaire.


Et quand parfois j'tremble de toute ma peau...
c'est les traces des caresses de l'hier.
ça m'attrappe depuis l'fond de mes os,
c'est ce qui est futile ou nécéssaire.
Creuser l'abstrait est inutile,
quand l'ivresse d'une fleur vous fâne.
Et si la fragrance est subtile,
C'est ainsi que le souvenir émane...encore...sentir...

Si l'érrance amène à croiser
la sève et la chair, en un combat à deux mais singulier.
En un souffle éphémère.
Une chimère de plus s'étiole sans traces.
Elle se dérobe là, sous mes mains.
Malgré ça le songe ne s'éfface qu'après infinités de lendemains
Dans l'oubli de caresses d'archets...
D'un sourire délicatement sincère...
D'un soir s'enlacer
D'une étreinte en absence de lumière

Encore sentir son Odeur

Encore...
Sentir...
Son...
O...